Il est consacré en premier lieu aux débutants en astronomie amateur, à ceux qui ne possèdent pas encore de matériel ou qui viennent tout juste de l'acheter. Ils trouveront ici des renseignements basiques qui pourront les aider dans leur démarche.
Absolument ! Il est d'abord nécessaire d'apprendre à se repérer dans le ciel, sans quoi vous risqueriez de ne pas savoir quoi faire avec votre instrument tout neuf.
Des jumelles d'une centaine d'euros, un atlas et une application gratuite sont un bon départ pour commnecer l'observation et l'apprentissage du ciel, laquelle reste une étape indispensable si on désire progresser.
Non, il requiert bien au contraire une mise en station précise et délicate, sans quoi votre télescope sera inutilisable. Cela s'apprend néanmoins et facilite par la suite la recherche d'objets peu lumineux. D'aucuns disent pourtant que cela enlève le plaisir de la découverte...
Oui et non. Il est vrai que plus un instrument a un diamètre important et plus on peut voir de choses, cependant tout dépend des objets que l'on veut observer. Il n'existe pas d'instruments polyvalents.
L'observation au moyen de petits instruments (en dessous de 250 mm de diamètre) ne permet de percevoir que des taches grises pour les objets du ciel profond. Cela peut sembler décevant, mais il faut considérer que l'on peut malgré tout voir par ses "propres moyens" des galaxies ou nébuleuses très lointaines. Même les planètes plus proches (relativement) sont magnifiques...
Oui, absolument ! La technique de la photo a beaucoup évolué grâce du numérique et à l'utilisation de l'outil informatique. Par des procédés d'empilement et des poses longues, même des amateurs permettent de montrer l'invisible et d'accéder ainsi à des objets peu lumineux aux jolies couleurs.
Malgré tout, il s'agit de techniques complexes qui demandent un matériel assez onéreux.
C'est le dilemme quand on commence l'astronomie amateur : veut-on plutôt observer ou faire de la photo ?